Malgré les années Adobe Illustrator continue à garder de vieux fardeaux que je ne comprendrai jamais. 6 raisons non exhaustives qui me font ne pas l'aimer. 1. Les brosses L'outil des brosses est vraiment à améliorer. La configuration de brosses est tordue et inefficace. La…
Illustrator est un outil essentiel pour mon travail. Il n’y a rien comme créer ses logotypes en vectoriel et se sentir légère comme une plume. Cette souplesse garanti que le logotype s’adaptera à tous les formats dont on aura besoin peut être dans le futur.
Une bâche de quelques mètres ? Pas de problème !

Mais avec les années Illustrator continue à garder des vieux fardeaux que je ne comprendrai jamais. Je sais bien : il s’agit d’un outil extraordinaire qui a marqué l’histoire récente du graphisme vectoriel et ne cesse jamais de me surprendre.
Quand j’ai un nouveau besoin, je fais une recherche sur Google, et hop ! Il y a ce qu’il faut pour le faire.
Un peu d’histoire (noire ?) sur Illustrator
Illustrator est né en 1986 sous le bras d’un Macintosh. À une certaine époque il était plus puissant sur Mac que sur PC. Dans les années 90 on jonglait souvent entre Illustrator, FreeHand, QuarkXPress ou encore CorelDraw. Ces noms doivent paraitre bizarres pour les plus jeunes, mais pas pour ceux de ma génération (81) et surtout les précédentes.
À l’époque Illustrator ne sortait pas du lot.
Pour beaucoup, FreeHand était le meilleur logiciel de vecteurs. La question pour moi est qu’au fait Adobe Illustrator ne sort toujours pas du lot !
Adobe a acheté Aldus en 2006 et par conséquent tué FreeHand, quoi de plus simple pour gagner la bataille ? David perd la bataille face à Goliath.
Depuis, Illustrator continue à hériter quelques erreurs d’interface et spécificités d’utilisation. À Adobe doivent se dire « Pourquoi faire des efforts quand on a la plus grosse part du marché ? ».